Patience stratégique, diversification, appui sur des partenariats locaux, philanthropie audacieuse… les solutions sont nombreuses pour réussir en Afrique et contribuer à l’émergence du continent.

La culture et la transformation local de produits tropicaux favorisent la création d’infrastructures de base, avec des externalités positives significatives pour les régions concernées.

Les fintechs africaines peuvent être un formidable moteur de développement et sortir de la pauvreté des millions d’habitants, ou devenir un nouvel exemple des méfaits de la financiarisation des économies.

Les acteurs publics et privés du continent africain doivent investir dans les hommes et dans les infrastructures (data centers, IA, robotique) pour faire face à la 4e révolution industrielle en cours.

Si les capitaux chinois ont bousculé les prés carrés traditionnels en Afrique, ils ont aussi permis l’éclosion de projets structurants, mais gare au piège de la dette.

Pour financer les infrastructures dont elle a besoin, l’Afrique centrale doit accélérer le développement de ses places financières, ce qui passe notamment par une réforme du corpus réglementaire et une formation universitaire de qualité.

Si l’Afrique représente une véritable opportunité pour les PME/ ETI européennes, l’adoption d’une stratégie adaptée est cruciale pour répondre aux spécificités du continent

En Afrique subsaharienne, l’éclosion de start-ups dynamiques sera déterminante pour remporter la bataille de l’emploi.

Seaboard, conglomérat mondial du secteur agro-alimentaire, annonce l’acquisition d’une partie du capital de GMM (Mauritanie) et de Fromex (Suisse). Okan a agi en tant que conseiller financier de GMM / Fromex dans le cadre de cette transaction.

Alors que le taux de bancarisation en Afrique subsaharienne demeure inférieur à 20 %, les fintechs construisent un écosystème financier à moindre coût, particulièrement adapté au contexte africain.